lunedì 8 dicembre 2014

"Les vacances du Petit Nicolas": synopsis et critique



C’est la fin de l’année scolaire. Le moment tant attendu des vacances est arrivé.
Le petit Nicolas, ses parents et Mémé prennent la route en direction de la mer, et s’installent pour quelques temps à l’Hôtel Beau-Rivage. Sur la plage, Nicolas se fait vite de nouveaux copains : il y a Blaise, qui n’est pas en vacances parce qu’il vit ici, Fructueux, qui aime tout, même le poisson, Djodjo, qui ne parle pas comme eux parce qu'il est anglais, Crépin, qui pleure tout le temps, et Côme, qui veut toujours avoir raison et c’est très énervant. Mais Nicolas fait aussi la connaissance d’Isabelle, une petite fille qui le regarde tout le temps avec de grands yeux ronds et inquiétants, et à laquelle il croit que ses parents veulent le marier de force. Les quiproquos s'accumulent, et les bêtises commencent. Une chose est sûre : ce sera, pour tout le monde, des vacances inoubliables…


LA CRITIQUE LORS DE LA SORTIE EN SALLE DU 09/07/2014

C'est par leurs influences, leurs références, que ces nouvelles aventures du Petit Nicolas étonnent et séduisent : si l'hommage aux “Vacances de Monsieur Hulot”, de Jacques Tati, est flagrant, on y trouve aussi une séquence copiée sur “La Grande Vadrouille”, et une autre, très réussie, ouvertement inspirée de... “Shining”. On voit même les “Demoiselles de Rochefort” quand elles étaient fillettes ! Après un début dont la mollesse inquiète, Laurent Tirard trouve le rythme quand Nicolas, papa, maman et Mémé arrivent, enfin, à l'Hôtel Beau-Rivage. Ambiance pension de famille, buvette sur la plage, retrouvailles avec un copain d'avant (Bouli Lanners, parfait) pour papa, rencontre avec un producteur de cinéma très fellinien pour maman, et surtout, bande de copains et amourette de vacances pour Nicolas : à chacun ses quiproquos, ses caprices et ses bêtises, le tout dans une reconstitution ludique des années 1960, quand on n'attachait pas sa ceinture à l'arrière de la Dauphine. Comme dans le premier volet, c'est du côté des enfants que le charme opère : coup de coeur pour le petit Crépin qui pleure tout le temps et pour Isabelle, qui semble sortir d'un film de Tim Burton. La fin, où les parents parcourent la lande au clair de lune dans des déguisements divers et variés, est même d'une étonnante beauté. Comme dirait Nicolas : ces vacances, elles sont chouettes ! Guillemette Odicino


Merci a C.Z.!

SORTIE DU FILM EN ITALIE: 9 avril 2015

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